En toute âme-hissée …
Tout présent offert est encore plus beau lorsqu’en le contemplant il perpétue la lignée de nos rêves d’enfant …
(Sabine)
A François et Marie
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« Gentils voleurs de reflets » qui ne seraient pas encore allés à la rencontre de mon « Pêcheur d’images », je vous invite à prolonger votre flânerie quelques pas plus bas, vers lui …
Car, quelque part, il vous ressemble !
La vidéo musicale que j’y évoque, superbe, de Ludovico Einaudi, vous pourrez la retrouver ICI et même la laisser en fond sur ma voix ….
Pêcheur d’images …
Malgré une extinction de voix, je tenais à vous offrir ce petit enregistrement vocal. Afin d’éviter toute cacophonie, je vous invite à aller éteindre le lecteur du blog sur la colonne de droite à l’onglet « Caresses musicales ». Enfin, pour continuer à vous abreuver de mes jeux de mots, je vous propose d’écouter en lisant ….
Amarreur d’étoiles
au fer des mélancolies,
sous le hang-art de tes paupières
en bois de ETRE
naissent
des caresses d’anges
sur l’ivoire du ciel,
des océans de pétales,
des jungles d’ailes,
des jabots de brume
que soulèvent
des rumbas de pluie,
l’air et ses tambours …
Tes visions sont des arpèges
qui marient des histoires d’amour …
Sous les ramures de tes cils
refleurissent
les mots en lie de vain
tombés au fond du pressoir …
Ils chantent, je les murmure souvent,
la tendre chouannerie des poètes.
A l’orée des instincts
un silence animé savoure
ce mélange de grenades et de fraises
sur les lèvres du vent,
bouche bée rouge qui enchante
le grand verger des rêves
où la lumière vient boire,
célébrant les fruits du hasard …
Et les aveugles voient
ce qu’ils n’écoutaient plus
« le souffle de la vie »
et les marcheurs s’émerveillent
de ce qu’ils sont devenus
« enfants de l’infini »
Sabine
Autre invitation, autre image : une fois votre flânerie terminée, je vous convie à aller rallumer le lecteur du blog … Un voyage exceptionnel vous y attend, en « son » et surtout « image » par le biais de la vidéo « superbe » !
Et je tenais également à vous faire partager, pour l’heure, un dernier bonheur : la cagnotte récoltée pour mes soixante printemps me permet de réaliser un voeu, celui d’aller voir en concert ce phénoménal « Ludovico Einaudi », présent à chacun de mes souffles d’inspiration. Ce sera en décembre et à Milan !
Je me réserve l’intense plaisir de vous en reparler …
Rencontres en vagues d’oh …
Dans l’archère d’une pénombre,
je suis venue chuchoter des couleurs,
des bribes de rose,
des gris pluie,
des bleus doux,
la mer dans son blanc d’oeil,
et la fuite des mares-en-cage
vers des chutes d’oh sans retour …
Tout près,
j’ai trouvé à mes pieds,
des rimes et des rêves …
Quelqu’un était déjà passé
avec la même prière,
j’ai pris son calumet !
Il devait être conteur
ou d’une étoile l’écuyer,
car depuis je suis devenue
folle d’ailes !
Seule ou dans la nuée
j’avais souvent si peur,
sol-éther
mule-titube,
avant de savoir voler
en emportant la terre …
Mon repaire désormais
est là où le i de vivre
vient chercher son point
d’oh !
J’y découvre
chaque jour en vers
l’endroit poète,
son accent vert,
où l’envers
reprend enfin ses droits !
Au retour,
j’ai posé une quête
sur les rebords d’un toi …
Sous l’oeil concerné
d’une apparente pauvresse
dont les mots philanthropes
dans mon coeur
ont fait toit !
(Sabine)
Il dessinait …
Il dessinait …
des nuages en rires de fumée
dans les rues-ailes du ciel,
cherchez l’âtre,
il est dans le coeur des êtres …
Sur les toits
se profilent des antennes
en mâts de voiliers.
L’air écume et je voyage
de chagrins qui s’étranglent
en émotions qui s’élancent
et partent muer
entre mystère et illusion …
Les balcons et leurs fenêtres
sont des robes d’un soir
qui habillent les murs,
elles glissent déjà de leur cintre,
comme si tout devait disparaître
pour renaître ailleurs …
Vers la fontaine,
aucune eau ne jaillit
de la bouche des chevaux,
retenue
dans une ride de son crayon,
elle est devenue précieuse …
Je vois des femmes et des hommes,
simples accents posés
sur une page effet-mer.
Leur élégance animale
incite
mon corps par-chemin à se dérouler …
Tout file et flotte
sur ce décor non tracé
en lignes éventail
qui s’ouvrent et se referment
selon la fraîcheur du TANT …
Un pèlerin marche
sur une gouttière
de son pas d’homme oiseau,
léger et affranchi,
qui croit à nouveau en ses rêves …
Il dessinait
et je suivais …
ses déploiements discrets
et les lueurs sensuelles
d’écarts candides,
en silence
sans cesse honorés …
Il planait sur ses mots
muets
un parfum vivant
de rose de mai ….
(Sabine)
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Je serai peu présente, allant enfanter bientôt d’un second livre, que je compte exposer sur le marché de Noël organisé par notre petit village.
J’y présenterai également quelques photos format 30×40, illustrées de mes pensées …
Lola devrait m’accompagner avec quelques-unes de ses créations …
Bien que le temps me soit à présent relative-aimant compté, j’essaierai d’aller respirer vos allées, leur parfum m’enivre tant !
Antre temps ….
Sur le Camino Primitivo.
A l’écart de mon être
j’avais écrit des maux
sur l’ardoise du temps ,
jusqu’à ce jour d’éole
où l’amour passa maître,
essuyant tout
au crin doux de l’errance
et parfumant mon spectre
aux herbes bénies de l’enfance …
Je ne pleurais plus rien,
m’enivrant de mes silences …
Au fil du tant
mes mots avaient cousu,
sur un pan maya de l’air,
des hours-lait de rêve,
des instants de laine
et des rires d’antan …
(Sabine)
Dans mon pagne-riez, j’ai mis …
J’ai emprunté
des chemins de ronces
pour comprendre d’où venait
l’obstination de mes pas …
Mon pagne-riez
en maint
se remplit peu à peu
des sourires de l’ombre ….
Et cette candide pécheresse me conta …
tout ce que le temps tresse
de solitairement beau
sur les parois de notre écorce …
Je pus tout sentir,
toucher,
offrir,
en effleurant mes peurs …
Mes mots devinrent lianes
reliant mes racines au vent,
et j’épurai mes chimères
dans les yeux de la pluie
aux éclats de farandoles …
Arbre nous sommes
et resterons,
en mémoire de chaque aube
qui se souvient
des miracles déposés à nos pieds,
et renaît de notre spectre
tiré tout entier vers le haut …
Ses feuilles vagabondes
dansent
l’histoire de nos approches,
nos émotions,
et de ses couleurs
fugitives et frêles,
poignent
le fluide de nos vies,
l’horizon du monde ….
Que n’ai-je écrit
à la craie des nuages
sur l’ardoise d’un TOI,
nouant et dénouant
mon coeur végétal
de ce spleen si aérien …
Des âmes-mystère
sculptent à leurs heures
pour l’oeil du passant …
Débris de branches
ou chefs d’oeuvre ?
C’est à l’appréciation
de ce cordon en nous
maintenant mort ou vivant !
Entre nos doigts se faufilent
des sillons de fleurs
où peut s’étendre heureuse
la souffrance d’un lépreux …
Tends-les, TANT,
sans crainte de ravages pernicieux !
A ces mots
pensés en silence,
le soleil glissa entre mes pas
un morceau de sa chair
à greffer
sur les brouailles des maux …
Dans la pulpe de l’air,
mes rêves sont fruits et violons,
deviner sur leur peau
la douce main de la terre
reste un frisson !
Et je retrouvai mon dragon.
Redevenue mère-lin,
je l’écoute
me parler de mon étoile .
Il m’enchante
et me rassure sur mes origines …
« Je suis et resterai cette cueilleuse du TANT dans l’invisible ! »
(Sabine)
J’ai découvert par un merveilleux hasard cette musique d’Anouar Brahem !
Voici un extrait de son « voyage de Sahar » …Aimez-vous aussi ?
Mon pagne-riez en porte l’odeur ……….
Par chemins ….
(Les parchemins de Lola ….)
Qu’importe
l’endroit où ils se posent …
Sur table-être d’argile
ou tissu de « soi »,
dans une fleur du Nil
ou le doux manteau de chèvre
qui enferme l’aloi
des immenses collines
aux rires safran …
Je les déroule toujours
dans le sens du ciel
pour y sentir,
entre deux soleils,
la caresse des astres.
J’y ai même un jour
entendu
les pleurs secrets d’Ulysse
dans ces petits feuillets magiques
en peau de chagrin …
Qu’importe, vois-tu,
les lieux et leurs distances,
tous ces mots écrits
ont gardé dans leur fer
l’âpreté poétique des sentes
et la fougue enfant des diligences …
Puissent-ils voyager toujours
et encre-or !
A ma lola,
et à vous toutes et tous, amies et amis virtuels, qui les rendez si émouvants …
Au plaisir que j’ai à vous lire, involontairement ponctué mais si fervent !
(Sabine)
__________
Lola a réussi le concours des Beaux-Arts à Limoges.
Retenue également dans la première phase de recrutement visant une entrée en D.M.A « Reliure Dorure » à l’école Estienne de Paris, elle tentera mercredi la seconde et dernière phase.
Nous l’accompagnons et je serai encore absente un peu …….
Doisneau ….rouvre les yeux !
Doisneau, rouvre les yeux ….
Tes enfants sont toujours là !
Ils sont là …
N’entends-tu pas leur pas
dans le tintamarre des herbes ?
Ils ont troqué
sur un coin de conte-hoir
leur écran dérive-hoir
tac-til tac-til tac-til
pour l’horloge du vent …
Elle leur donne des rêves qui gambadent
entre cailloux et branchages
dont l’histoire,
tenue dans leurs petites mains,
a repris tout à coup
l’éloquence des forêts
et le souffle des ruisseaux ….
Les enfants qui appellent l’oiseau
recueillent en leur coeur
toute l’euphorie des cieux …
Et lorsque de leur rire de cristal
ils percent l’air jusqu’aux nuages,
ils font tomber des flocons de neige
sur les déserts asséchés
de mes rimes austères !
Confidents des étoiles
transformant l’ombre
en tanière du soleil,
Rebouteux de génie
faisant s’envoler les mots malades
plus haut que l’infini,
nous avons tout à apprendre
et tant à boire
de la sève sacrée de leur poésie !
Par ce visage rond
je parcours la terre
et puise toutes les candeurs oubliées,
retrouvant entière
dans les prunelles de l’humanité
cette soif de sentiers de lune
et de balades de fée …
Petite tête folle,
délicieux manoir hante-thé
où infusent toutes les fleurs des chemins
et les saveurs du monde,
où valsent maintes gens,
mendiants heureux,
ministres en robes des champs,
dans un hope-erra prestigieux,
extravagante conte-in
pour grand’maman éblouie !
Je leur apprends « le baiser aux arbres »,
et les pages du silence …
Et vois, à présent,
comme ils savent réciter le mot AMOUR !
(Sabine)
A mes petits-enfants,
et à ceux de la terre entière.
*le mot « hoir » , utilisé ici en jeu de mots poétiques, existe bien et signifie « héritier » en français dit « désuet ».
En écoutant le « oh bois » !
En allant retrouver, éperdument au hasard, la rubrique « Voyages » de mon amie « évajoe », j’ai eu envie de vous proposer un thème !
Venez vous installer près de ce bois, je vous y ai fait une grande place ….
Autour de cet arbre de Noël réinventé et qui fut le nôtre, venez écouter la musique du lieu et celles des images qui, au loin, vous transporteront …
Une fois parvenus au rivage, racontez-moi, racontez-vous …!
Aucune date, aucun délai ne vous seront imposés pour ce thème, vous savez trop à quel point j’aime que l’Ecriture se sente libre !!!
Les fêtes sont passées, me direz-vous ?
Mais non, elles ne passent jamais …
Elles restent en nous tel un bon pain dont la saveur exceptionnelle ne cesse d’enlacer nos bouches …!
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Je vous laisse découvrir ma participation …
Par un lacis de ruelles, je suis partie rencontrer le hasard ….
Quel visage aurait-il, quelle silhouette le dénoterait de la foule, je l’ignorais mais il m’appelait déjà au loin, m’attirait tel un palais d’aromates …
Un vieil âne en chemin, qui semblait porter tout le poids des ans, me sourit avec confiance !
En cette nuit, un peu spéciale, tout me ramenait au pays de ce prêcheur ….
Je l’imaginais bien ce pays de bergers, aux champs fertiles, sentant bon la vigne et l’olivier. Fut un temps, on y aimait bien l’étranger, je l’ai souvent lu. Curieux, les enfants accouraient, répandant du parfum à ses pieds comme le voulait alors la tradition.
Par les portes des maisons toujours grandes ouvertes, on pouvait entrer, assister au repas, et on écoutait avec vénération l’enseignement de l’hôte !
En fermant les yeux, on peut tant voir, tant deviner, mêlant nos lectures à nos voeux …
Et l’eau des rivières devint aussi précieuse que celle du Jourdain, où des milliers d’hommes avaient lavé leurs maux et les avaient ressortis enveloppés du ciel !
Je m’installai de plus en plus confortablement dans ce rêve éveillé, alors que le temps filait comme file la laine, de l’écheveau de mon âme, pour y coucher mes ardeurs-reines …
Me revenait à l’esprit ma définition du poète …
POETE, être qui enfante des merveilles, parce qu’il touche la terre avec la même pudeur attendrie que pour le ventre rond d’une mère !
Et tout devint poésie , les algues qui caressent nos pieds et les tourments de l’océan, les nuées de cigognes, aussi sublimes que solidaires, et les troupeaux marchant sereinement dans la brume aux côtés de leurs petits .
Tout devint nourricier, dans la chair des messages, et je compris très vite que je n’étais pas venue cueillir la beauté dans le matériel, mais dans l’humble du monde et la douce modestie des heures !
Un enfant, assis par-terre, essaie de lire sur les joues des étoiles, le pourquoi des guerres et le comment des peurs …Rien, à ce jour, ne me permet encore de lui répondre, mais je sais qu’il aimerait qu’elles soient gais parchemins !
En cette nuit, ceux qui se disent gueux ou païens oseront, je l’espère, contempler le couchant pour y puiser la couleur de leurs prières inavouées mais entendues …
La tolérance, enfant, est une huile sainte, les étoiles te le diront, et je bois, en te la contant, toute la liqueur de sa grâce !
Des femmes chantent, en nous entendant, elles portent contre leur hanche de larges bassines pleines d’un linge fin et aussi moelleux que l’herbe …
Tout autour, resplendissent les cyclamens, donnant à ma plume l’envie de se frôler aux fleurs de calame ….
L’eau est fraîche dans les cruches et m’engage à marcher encore plus loin, dans mon rêve aux grands cils bleus !
Il m’amènera jusqu’à aujourd’hui et au sens véritable de cette fête …
Je voudrais, un jour, être de ces mendiants invisibles, assoiffés d’amour, dont le manteau brodé de blessures se fond dans la mélancolie de l’air et les larmes du vent …
Je voudrais,
un jour,
marcher
vers cette terre de Canaan !
(Sabine)
Je ne sais si, en me laissant aller à ce texte, j’ai rencontré le hasard.
Je pense simplement avoir rencontré l’espoir car, pour moi, le hasard est VIE et la vie est peuplée d’ESPOIR !
Je n’ai pas attribué de titre à ce thème …
Il pourrait être « Rêveries autour d’un bois », par exemple.
Je vous laisse donner à ce thème le titre que vous voudrez, l’essentiel étant de méditer autour d’un bois, évoquant une certaine magie de Noël (ou pas ?)
Mes voeux se trouvent quelques pas plus bas, dans une vapeur « d’encens-bleu » ….(Pour celles et ceux qui ne les auraient pas encore découverts)
Je sais, je fais souvent les choses à l’envers !
Encens-bleu …..
J’ai vu
hier
dans les yeux de l’hiver
naître des cristaux de joie …
ET
plus je m’approchais de leur lueur
plus je me sentais moi-même
en phase d’éclore avec eux !
La terre prenait la courbe d’une vague
appelant des barques bondées
de pêcheurs d’espoir …
AUSSITOT
ciel terre mer
tout se mêla
en harmonie d’être
et mouvance d’aimer,
des racines de mes pensées
à la cime de mes pas …
Partout
où mes frères accostaient,
ils pouvaient étendre
leur fatigue et leur misère
sur un chant de fleurs …
Et je me mis à rêver de ces espaces
où toutes les couleurs d’êtres sont belles
et les cris de ralliement
sont des hymnes à la sève,
au printemps du monde,
qui peuplent les arbres d’étoiles
et parviennent à bercer le vent …
Au fur et à mesure que je m’éloignais
pour revenir en moi,
mon chemin s’éclairait
de lucioles magiques
en esprits de corps …
Un jour,
sûrement,
nos maux aveugles et aveuglés
ne se cogneront plus
aux saillances du temps,
TANT
la pureté de nos anse-temps
aura posé ses douces mains
sur nos visages d’enfant,
greffant sur chaque égratignure,
de nos petits bouts de roses
partis somnoler en nous,
un coeur géant !
Un jour,
sûre-aimant,
il n’existera plus de remparts,
OU
s’ils existent,
ce ne sera que pour y poser nos attentes
sur leurs pierres devenues pages,
en faisant des livres d’or,
des contes de sages
aux rimes muettes et engagées !
A l’image de ces oiseaux,
soyons des hommes unis
contre le froid des ans,
devenant solidaires et épris
des voyages de l’autre,
et ouvrant ensemble,
ENCENS-BLEU,
de la force de nos ailes,
éperdument vagabondes,
les frontières de l’indiffère-rance !
(Sabine)
Que vos fêtes et tous les jours qui en découleront ne soient qu’AMOUR …
Je ne pourrais espérer pour vous meilleur trésor !!!
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Il y a deux jours….j’aurais pu !
J’aurais pu vous offrir ce château dans la plus impensable féerie d’astres ….(Pour celles et ceux qui comprendraient mal ce message, RV quelques pas plus bas vers l’oh de mon ruisseau et son feu folle-haie !)
Oui, j’aurais été en mesure car le soleil couchant était, paraît-il, aussi flamboyant qu’aux Antilles (D’après des amis qui y ont vécu !)
De plus, et au vu du magnifique soleil de la journée, j’y avais pensé mais au lieu d’aller gambader entre mes lianes comme prévu, je suis allée flâner dans les ruelles et les échoppes de Saintes avec Lola …sans même avoir vu cet incroyable soleil couchant (Sniff pour vous et pour moi !)
En échange, je vous offre ce ballet d’amour, en espérant qu’il vous plaira, vous emportera et que ….vous me pardonnerez !!!